vendredi, février 02, 2007

Rapport Giec en synthèse


Des gros impacts sur la vie de l'homme et sur l'économie mondiale en perspective : Le GIEC attribue le réchauffement climatique "très vraisemblablement" à l'homme (probabilité 90%) : "Selon l'hypothèse moyenne des experts du Giec, la température pourrait s'être élevée de 1,8 à 4 degrés entre la dernière décennie du 20e siècle et la dernière décennie du 21e siècle. Compte tenu des erreurs autour de chaque scénario, la fourchette totale s'étend de 1,1 à 6,4 degrés."
../.. "Tout ça donne une image d'un monde extrêmement différent, d'un véritable bouleversement climatique, estime Jean Jouzel. Même un changement de trois degrés, si nous le subissions en un siècle, c'est la moitié d'un changement climatique majeur, celui qui nous a fait passer de la dernière période glaciaire à la période actuelle, mais ce passage a pris 5.000 ans", dit-il.

2 commentaires:

Benj. a dit…

Merci pour votre site.
Au delà du catatrophisme, il existe d'autres arguments(cf. ce lien : http://www.radio-silence.org/Sons/mdp20070202.mp3) comme par exemple : au moyen-âge, il y a eu des périodes chaudes où le gröenland était vert. Quoi répondre ???

Anonyme a dit…

Si vous êtes vraiment motivés pour avancer dans la recherche de solutions au problème du changement climatique (qui n'est pas le seul problème, n'oublions pas la biodiversité qui diminue, les océans qui se vident, l'érosion des terres arables, la pollution de l'eau, de l'air, des sols, etc...), je recherche des partenaires (c'est-à-dire des gens comme vous, si, si !) pour développer une organisation engagée dans cette voie: "O".

L'idée: les petits gestes dont tout le monde parle sont insuffisants, il est nécessaire de modifier plus en profondeur notre mode de vie, c'est à dire, entre autres, ne plus prendre l'avion, se passer de la voiture le plus souvent possible (le mieux étant de ne pas en acheter), changer ses habitudes alimentaires (moins de viande, de fraises en février, de raisin d'Afrique du Sud), habiter près de son travail et plutôt dans un appartement en ville, et moins consommer en général...

Rien d'impossible, et pourtant ces changements nécessaires sont très difficiles à accepter parce que contraires au fonctionnement actuelle de notre société, basé sur la production (et donc le travail, l'emploi, l'utilité sociale et le statut qui lui sont associés) et la consommation (et donc l'appartenance à un groupe social et la recherche du prestige) de biens et de services, ce qui s'accompagne toujours ou presque de pollutions diverses. Comme nous avons tous besoin de travailler et que nous voulons tous accéder à une certaine reconnaissance sociale, agir efficacement contre le changement climatique est très difficile, nous n'y arriverons pas si nous ne donnons pas de la valeur sociale (de l'estime, de l'admiration, de l'envie) aux conduites à tenir.

Objectif: renverser la vapeur en valorisant socialement ceux qui agissent de manière responsable (c'est à dire qui cherchent à minimiser leur empreinte écologique), essayer d'imaginer un mode de vie durable et accessible à tous et enfin, ce qui rejoint un peu le premier point, inventer d'autres moyens de cohésion et de valorisation sociale que le travail et la consommation, ou alors les orienter vers des activités environnementalement soutenables.

Si vous êtes intéressé, allez faire un tour sur le site suivant:

www.O-lesite.org

et n'hésitez pas à me contacter pour plus d'informations en écrivant à contact@O-lesite.org